En nous appuyant sur la recherche universitaire et l’expérience du monde réel, nous approfondirons les nuances de la productivité et proposerons des mesures concrètes pour atteindre vos objectifs. Alors, que vous soyez étudiant, professionnel ou que vous cherchiez simplement à améliorer votre propre flux de travail, rejoignez-nous dans ce voyage de découverte et de maîtrise de la productivité.
Préparation et exécution : deux phases importantes de la productivité
Une partie de la productivité est cachée. Elle n’apparaît pas sous nos yeux car elle se passe dans les coulisses. Ce sont des les 20 minutes passées à affiler la scie pour rendre le travail du bûcheron incroyablement efficace, ce sont les longues séances de préparation mentales menées avec un coach psychique pour les athlètes de haut niveau, ce sont ces nuits de sommeil complètes faites au détriment de sorties entre amis ou que sais-je encore ?
La productivité doit être pensée selon deux volets primordiaux : la préparation et l’exécution.
L’un sans l’autre équivaut à une table bancale. Pour pouvoir comprendre cette idée, je vais vous donner l’image du levier : la force que vous pouvez déplacer en utilisant un levier est fonction de l’effet de levier (la préparation) et la force que vous appliquez (l’exécution). Bien souvent, vous vous rendrez compte que la préparation est bien plus importante que l’exécution elle-même.
Le coefficient ou effet de levier
Tout ce que vous avez à faire pour résoudre un problème se résume souvent à appliquer la bonne stratégie au bon endroit ou encore à appliquer la bonne force au bon moment. Plus facile à dire qu’à faire. Ce qui fait la différence entre un champion et un pratiquant ordinaire, c’est qu’il maîtrise à la perfection la notion d’effet de levier dans sa discipline. Il sait appliquer les bonnes connaissances au bon endroit et le plus souvent il le fait de manière inconsciente. Il existe diverses manières d’accroître l’effet de levier que l’on possède sur un sujet. Vous pouvez lire, vous former et pratiquer parce que cela vous pourrez collecter des savoirs directs de votre expérience de terrain.
L’apprentissage passe par la pratique inéluctablement
Pour qu’un savoir ait de la valeur, il faut qu’il passe par le filtre du sujet, c’est-à-dire l’humain. La connaissance n’est précieuse que lorsque la pratique consciente est devenue inconsciente. Cela veut dire qu’il faut que vous mettiez en pratique la notion de pratique délibérée et vous confronter suffisamment de temps à un domaine afin que votre savoir devienne inconscient. La pratique vous permet d’accumuler des itérations. Essentiellement, ce qui vous rend bon dans un domaine n’est pas tant le temps que vous y avez passé mais plutôt le nombre d’essais et d’erreurs que vous avez pu expérimenter. Chaque échec est un tremplin potentiel vers un niveau supérieur, encore faut-il en digérer les leçons.
La préparation a besoin d’exécution
L’exécution a besoin de préparation, on le sait tous mais ce qui est moins intuitif, c’est que la préparation a elle-même besoin d’exécution. Une voiture de rallye pour aller au bon endroit a besoin d’un copilote muni d’une carte. Le copilote a lui-même besoin de voir le paysage défiler devant lui pour pouvoir savoir où il est exactement, il a besoin d’un retour. Il y a une boucle de rétroaction qui existe entre la préparation et l’exécution.
Cultiver deux valeurs antagonistes : patience dans les résultats, impatience dans l’action
Si vous être productif, il va vous falloir changer votre rapport au travail et aux résultats de vos actions. Vous ne pouvez pas totalement contrôler l’issue de vos actions alors il ne sert à rien de s’inquiéter des résultats que vous obtenez. Il est bien meilleur de consacrer cette impatience à vos actions. Celles-ci mettront toutes les chances de votre côté.
“Faites ce qui vous semble être un jeu, mais qui semble être un travail pour d’autres.” Naval Ravikant
Si vous voulez être meilleur que 99% de vos confrères dans un domaine, il faut choisir une activité qui vous donne l’impression de jouer alors que pour les autres c’est un travail. Il est difficile de battre quelqu’un qui a l’impression de jouer parce qu’il peut travailler sans arrêt. Le jeu vous permet de redevenir un enfant. Quand un enfant joue, il perd la notion du temps, il ne veut même pas manger, c’est seulement le sommeil qui peut le rattraper.
Ne cherchez pas à avoir une vie équilibrée
Pour atteindre des résultats significatifs, il faut accepter une polarisation de votre vie. La polarisation implique la capacité de faire des choix. L’équilibre parfait d’une certaine façon est la marque d’un manque de discernement. Pour appartenir à l’élite de votre domaine, il faut être obsessif car c’est l’obsession qui vous pousse à repousser les limites du possible. Si vous pensez que vous ne pourrez pas être obsessif pour quelque raison que ce soit, il est mieux de s’abstenir à vous engager et continuer de chercher le métier ou le domaine qui pourront vous permettre de le devenir. L’obsession crée une intensité, une urgence que vous pouvez mettre à votre profit.
Traînez avec des ceintures noirs
Vous avez besoin d’être challengé de temps à autre pour créer une forme d’urgence. Si vous vous entourez de personnes qui sont à votre niveau ou légèrement en dessous ou au-dessus, vous n’allez pas pouvoir stimuler votre potentiel. Vous rapprocher de gens qui ont atteint des résultats extraordinaires vous donnera l’inspiration et l’envie de rehausser vos standards.
Les erreurs aiment les décisions prises rapidement
Une grande partie de la misère que l’on peut vivre est le fruit de mauvaises décisions que l’on a pu prendre. Celles-ci sont souvent prises sous le coup de l’émotion ou de la hâte. Lorsque vous êtes pressé, vous mettez tous les risques de votre côté de prendre une mauvaise décision. Il est préférable de s’abstenir de prendre une décision sous le coup de l’émotion le plus souvent et d’y revenir la tête calme de manière à décider de manière rationnelle.
Laissez-vous une marge d’erreur, ne visez pas la perfection mais l’amélioration continue
Il y a certaines choses que l’on peut apprendre par la réflexion, il y en a d’autres qu’on peut apprendre par les erreurs des autres et hélas il y a des leçons qu’on doit apprendre par nos seules erreurs. Le problème de vouloir rechercher la perfection, c’est qu’elle vous empêche de commettre certaines erreurs qui vous permettront d’avancer. Dans certains cas, on n’est obligé de passer par le filtre de l’expérience pour arriver à apprendre. Le perfectionniste peut nous amener à l’attentiste et donc freiner potentiellement notre progression. En matière de productivité, c’est la même chose, il faut vous laisser de la marge de manœuvre pour essayer une stratégie (plus ou moins longtemps d’ailleurs) avant de décider si elle est faite pour vous ou pas.
Récréez un environnement favorable
On est plus le produit de son environnement que de sa génétique. Si vous voulez atteindre un objectif particulier, il vous faut mettre toutes les chances de votre côté et cela implique de savoir ce qui fait la réussite des gens dans votre domaine. L’environnement est composé d’une variété de choses. Ce peut être les personnes que vous fréquentez, les podcasts que vous écoutez, vos habitudes, la façon dont votre chambre est disposée et une infinité d’autres choses. Inspirez-vous des personnes qui font le même métier que vous et qui excellent dans leur discipline. Étudiez-les de manière à connaître quelles sont leurs habitudes de travail et comment elles organisent leurs journées. Comprenez quels sont les détails qui peuvent faire la différence et adoptez les mêmes habitudes afin de voir si vous atteignez les mêmes résultats.
Les objectifs superficiels sont là pour vous aider à prendre conscience des objectifs profonds une fois réalisés
Quand il s’agit de productivité, on a tendance à vouloir l’orienter pour atteindre un objectif particulier sans se rendre compte parfois que cet objectif n’en vaut pas la peine. Notre progrès mental et moral passe par l’atteinte d’objectifs vains et illusoires. Ce n’est que lorsqu’on a mesuré soi-même la futilité d’une quête en la réalisant, qu’on peut désirer atteindre quelque chose de plus nobles. Alors si votre but c’est d’avoir une voiture de sport, peut-être que l’obtenir vous aidera à comprendre qu’il y a d’autres choses plus importantes dans la vie. Ce n’est donc pas forcément mauvais de poursuivre des objectifs superficiels, ce sont des tremplins vers de meilleurs désirs.
Ne cherchez pas les raccourcis
La vie est bien faite en ce qu’elle récompense le plus souvent ceux qui travaillent dur. Cela ne signifie pas qu’il faille toujours travailler dur mais qu’il est nécessaire d’engranger une quantité de travail significative avant de pouvoir commencer à travailler plus intelligemment : il n’y a pas d’optimisation sans travail préliminaire. La recherche de raccourcis est tentante pour deux raisons principales : notre cerveau est programmé pour optimiser ses efforts et toutes les publicités sont élaborées en jouant sur ce levier psychologique puissant. Les raccourcis peuvent être intéressants quand vous avez déjà accumulé une base nécessaire et que vous comprenez mieux ce que vous faites, sinon c’est au mieux de la procrastination déguisée
Apprenez à éliminer
Le cerveau aime le chaos (cf. entropie), c’est pour cela qu’il a tendance à accumuler plutôt qu’éliminer. Il faut être proactif pour “faire le ménage” dans sa tête. C’est un peu comme un jardin, si vous ne faites rien, les mauvaises herbes vont pousser facilement alors que si vous voulez avoir un beau jardin il va falloir proactivement l’entretenir régulièrement. Éliminer signifie faire le vide, c’est-à-dire avoir des habitudes quotidiennes qui vous permettent d’atteindre une certaine paix mentale comme la marche dans la nature, la méditation, le yoga, l’écriture. Quand vous arrivez à atteindre une certaine sérénité, vous êtes en mesure de prendre de meilleures décisions
Utilisez la règle des deux minutes
David Allen, dans son livre “Get Things Done” nous parle de la règle des deux minutes qui est somme toute simple : Faites quelque chose toute de suite si cela vous prend moins de 2 minutes. Ce faisant, vous allez pouvoir libérer de l’espace mentale que vous pourrez ensuite rediriger vers des tâches plus conséquentes et importantes.
Faites une chose à la fois
Vous attention n’aime pas le multitâche. En voulant faire deux choses à la fois, vous pensez aller deux fois plus vite alors que vous allez faire baisser votre concentration, épuiser votre égo (cf. épuisement de l’égo) du fait que vous ne serez pas en mesure de rentrer dans un état de flow.
Essayez d’atteindre le “flow” chaque jour
Atteindre le “flow” chaque jour est un défi fascinant et gratifiant. Le concept du “flow” a été développé par le psychologue hongrois Mihály Csíkszentmihályi, décrivant un état mental où nous sommes pleinement absorbés et engagés dans une activité, perdant la notion du temps et de l’espace. C’est une expérience de concentration intense et de satisfaction profonde.
Pour atteindre le “flow” chaque jour, il est essentiel de trouver des activités qui correspondent à nos intérêts et à nos compétences. Lorsque nous sommes immergés dans une tâche qui nous challenge juste ce qu’il faut, nous sommes plus susceptibles d’entrer dans cet état optimal. Cela peut être n’importe quoi, du travail créatif, du sport, de la musique, de la lecture ou même des tâches ménagères.
Pour favoriser le “flow”, il est important de créer un environnement propice à la concentration, en éliminant les distractions et en trouvant un espace tranquille. La pratique régulière de la pleine conscience peut également aider à développer notre capacité à nous concentrer et à nous engager pleinement dans l’instant présent.
Il est crucial de noter que le “flow” ne doit pas être considéré comme une quête incessante. Il est normal d’avoir des jours où il est difficile d’atteindre cet état. L’important est de cultiver une attitude d’ouverture, de curiosité et de persévérance dans nos activités quotidiennes, en cherchant à trouver un équilibre entre les défis et nos compétences.
Maintenez un esprit calme
Le calme est lié à un niveau de conscience. Si vous êtes calme, votre esprit est clair et vous allez à l’essentiel. Votre ressource cognitive est employée le mieux qu’il soit quand votre êtes serein. Vous évitez facilement les distractions et vous pouvez entrer dans l’état psychique “flow”. C’est pourquoi il est important de priorité la qualité de son moral pour être le plus efficace possible. Si vous êtes contrarié ou que vous vous sentez mal à l’aise, allez méditer, faites une pause, allez vous promener ou toute autre activité. Retournez à votre travail quand vous irez mieux.
Faites attention à la température de votre espace de travail
Des études (https://indoor.lbl.gov/publications/room-temperature-and-productivity) mettent en avant le fait qu’il existe une température optimale de travail en matière de productivité. Si vous voulez travailler dans les meilleures conditions, il vous faut conserver une température ambiante aux alentours de 22°C. La frange de température que vous pouvez tolérer étant située entre 21 et 24°C. Au-delà ou en deçà de ces valeurs, vous pouvez faire baisser considérablement votre productivité en raison de l’effet cumulé. À titre d’exemple, travailler à une température de 30°C équivaut à une perte d’environ 9% de votre productivité.
Aidez-vous de Newton
La première loi de Newton indique que : “tout corps conservera son état de repos ou de mouvement uniforme en ligne droite dans lequel il se trouve, à moins qu’une force ne soit appliquée sur ce corps.” En d’autres termes, si vous prenez l’habitude de procrastiner ou de ne pas être actif, vous allez vous-même créer les conditions pour ne pas réaliser vos objectifs. Il vous faut donc maintenir un certain niveau d’énergie et d’activité (même sur des domaines qui n’ont rien à voir comme le sport, l’étude, le nettoyage etc.) afin que l’inertie que vous allez créer puisse être ensuite dirigée vers vos objectifs ou tout travail productif. Ceci vaut également pour l’heure à laquelle vous vous levez, si vous avez du mal à vous lever tôt, “faites-vous un peu violence” et vous verrez que les choses iront plus facilement par la suite.
Prenez en compte la loi Swoboda-Fliess-Teltscher
La loi Swoboda-Fliess-Teltscher stipule que nos rythmes biologiques, tels que les saisons, l’exposition au soleil, l’alimentation et les heures de la journée, ont un impact direct sur notre productivité. En quelque sorte, la productivité, c’est comme le Tour de France, il y a des hauts et des bas, des montagnes et des plaines à dévaler à toute vitesse. Il est illusoire de vouloir atteindre une même productivité tout au long de la journée ou de l’année.
Alternez entre un mode focus et diffus
Il existe deux manières de faire travailler votre cerveau, si on peut dire. La première est consciente (focus), l’autre est inconsciente (mode diffus). Les deux modes sont complémentaires et s’auto-entretiennent. Le mode focus peut consister simplement à votre travail habituel et en pleine concentration, à savoir tout ce qu’on peut imaginer à l’ère post-industrielle. Le mode diffus peut être une pause ou toute activité qui implique la mobilité de votre corps (danser, prendre une douche, nager, se promener dans la forêt etc.). Ce faisant, vous allez pouvoir stimuler d’autres aires de votre cerveau et c’est d’ailleurs pourquoi vous avez de nouvelles idées pendant ces moments-là.
Dormez suffisamment
Selon vous âge, vous avez plus ou moins besoin de dormir longtemps. Le sommeil et sa qualité influencent directement votre mémoire, votre capacité à traiter l’information. Si on peut faire une comparaison, le sommeil, c’est comme l’eau pour le coureur de fond, s’il vient à en manquer, cela impactera directement son endurance et sa résistance. Le tout est de savoir combien d’heures vous avez besoin et surtout recréer les conditions pour que votre sommeil soit idéal (heures régulières, lieu silencieux etc.).
Connaissez votre chronotype
Chaque individu a un rythme circadien qui lui est propre. Certains sont plutôt matinaux, d’autres vispéraux voire nocturnes. N’allez pas contre votre nature, faites comme le surfeur, utilisez les éléments (i.e votre horloge interne et ses préférences) afin de surfer la vague de votre productivité. Afin de savoir quel est votre chronotype, vous pouvez faire ce test proposé par le magazine Cerveau & Psycho (en français : https://medias.cerveauetpsycho.fr/api/v1/files/5a82ac028fe56f032f5babbe?alt=file).
Les choses à éviter :
Manger de la malbouffe à midi
Ce que vous mangez a une incidence directe sur votre niveau d’énergie. Des études montrent que manger gras ou sucré à la pause déjeuner augmente votre somnolence l’après-midi ce qui plombe véritablement votre productivité.
Rester assis toute la journée
Si vous ne faites pas du tout de sport ou d’exercice même minime durant la journée, vous limitez potentiellement votre exposition au soleil et votre bien-être. Ces deux jouent un rôle important sur votre productivité. Vous travaillez mieux si vous êtes plus détendu. Les pensées parasites vous envahissent moins et votre corps est plus vigoureux, ce qui a une influence sur la qualité de vos idées.
Trop planifier
Planifier est nécessaire pour gérer de manière optimale sa journée, par contre trop planifier a des effets indésirables. Vous pouvez augmenter votre stress (celui de ne pas suivre votre planning à la lettre) et vous consommez de la ressource cognitive qui pourrait être consacrée à l’exécution. Il est mieux de définir 3 tâches importantes à accomplir chaque jour et ensuite de se laisser un peu de marge pour arriver à réaliser ces objectifs. Cela dit, vous pouvez de manière ponctuelle faire des audits de la manière dont vous utilisez votre temps afin de savoir ce que vous pouvez améliorer, en utilisant par exemple l’outil toggl (https://toggl.com/)
En résumé :
– La productivité comprend une phase de préparation et une phase d’exécution, et les deux sont essentielles.
– L’effet de levier joue un rôle crucial dans la productivité, en combinant la préparation et l’exécution de manière efficace.
– L’apprentissage passe par la pratique, l’expérience et l’accumulation d’itérations.
– La préparation et l’exécution sont interdépendantes, créant une boucle de rétroaction.
– Cultivez une valeur paradoxale en étant patient dans les résultats et impatient dans l’action.
– Entourez-vous de personnes qui vous défient et vous inspirent à élever vos propres standards.
– Évitez de prendre des décisions hâtives ou émotionnelles, privilégiez une approche rationnelle.
– Visez l’amélioration continue plutôt que la perfection et donnez-vous de la marge pour essayer différentes stratégies.
– Recréez un environnement favorable en vous inspirant des personnes qui réussissent dans votre domaine.
– Les objectifs superficiels peuvent servir de tremplins pour découvrir des objectifs plus significatifs.
– Évitez de chercher des raccourcis et comprenez que le travail préliminaire est nécessaire avant d’optimiser intelligemment.
– Apprenez à éliminer le chaos et à maintenir une certaine paix mentale en adoptant des habitudes positives.
– Utilisez la règle des deux minutes pour accomplir rapidement les tâches qui prennent peu de temps.
– Faites une chose à la fois pour améliorer la concentration et entrer dans un état de flow.
– Tenez compte de la température de votre espace de travail pour maintenir une productivité optimale.
– Maintenez un niveau d’énergie et d’activité constant pour éviter la procrastination et atteindre vos objectifs.
– Les rythmes biologiques ont un impact sur la productivité, il est important de les prendre en compte.